Benjamin nouvellement arrivé à Bretz’Selle nous partage ses premières impressions…
Je m’appelle Benjamin, mon vélo (un authentique Manufrance Supercourse) et moi (tous les deux de Saint-Etienne) venons d’arriver à Strasbourg… Voilà le début de mon premier mail envoyé il y a un mois et demi à Bretz’selle. J’ai d’ailleurs pensé à ouvrir une franchise en Bretagne qu’on appellerait Breizh’Selle. Vous avez trouvé ça marrant ? … Non… Ah… Bah moi oui ça me faisait rire… Pour ma défense il n’y avait pas de cours d’humour en école d’ingé. Des cours de cul-secs et de mécanique par contre ça y en avait, j’attends le prochain apéro-démontage avec impatience. Bref je diverge… Je suis donc arrivé à Strasbourg début mars et me suis mis bille (de roulement) en tête de réparer mon vélo. Et quoi de mieux qu’un atelier nommé Bretz’Selle pour assouvir ma nouvelle passion pour les jeux de mots, trouver des outils, partager un savoir et faire de nouvelles connaissances Alsaciennes ? Rien ! En même temps je ne vais pas dire le contraire ici ahah…
On me dit dans l’oreille (pas le budget pour une oreillette) que je parle pour ne rien dire, que je déraille… En tout cas super idée que d’avoir envoyé ce mail car un mois plus tard me voilà bien moins bête en mécanique vélo, je suis le mec dont on dit qu’il a réparé un dérailleur à l’étau et au marteau. Mêler apprentissage et mécanique est une super idée, donc merci à Bretz’selle et merci à tous, ce fût un plaisir (on dirait un pot de départ…).
Je finirai en citant Raymond Devos (j’ai pris la grosse tête) ; « Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l’un tourne, l’autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, je pédale ! »
Cadre-ialement, Benjamin